« J’ai choisi Idésia pour l’accompagnement ! Il y a un marché à prendre et Idésia a toujours été à mes côtés pour m’aider dans mes projets de développement. Tout seul, je n’y serai pas arrivé. » , Bruno Augouvernaire, franchisé Idésia depuis 2013 dans le Nord-Pas-de-Calais
Quelle est votre analyse du chemin parcouru en tant que franchisé Idésia depuis 2013 ?
Je suis très heureux chez Idésia et je m’y sens très bien ! Rentré en 2013 dans le réseau sur le département 59, j’ai renouvelé mon contrat en 2017 et j’ai pu progressivement développer mon activité comme je le souhaitais. La franchise a toujours été à mes côtés pour m’aider dans mes projets de croissance, de recrutement… Je suis parti d’une feuille blanche, sans aucun contact de prescripteurs ou de clients sur ma zone. Aujourd’hui, je travaille en équipe, avec un associé et notre enjeu est de piloter la croissance !
Ainsi, deux ans après mon entrée dans le réseau, j’ai pris la décision de m’étendre sur un deuxième territoire (le département 62, contigu au mien). En 2018, je me suis associé avec Arnaud WALSCHAERTS qui était lui-même courtier en prêt immobilier sur cette zone pour mieux la développer ensemble. Nous avons ensuite progressivement recruté trois mandataires pour nous aider dans le travail de prospection.
Comment envisagez-vous votre développement dans les années à venir ?
Je suis très optimiste sur mon développement. Sur la seule année 2021, nous avons fait + 16% de croissance grâce à l’arrivée de 2 nouveaux mandataires. Dans le contexte actuel, c’est vraiment positif. Aujourd’hui, nous sommes en recherche permanente de contacts afin de constituer une équipe de 6 mandataires sur les deux territoires. Nous avons découpé notre zone en sous-secteurs géographiques, le but étant de positionner un mandataire sur chacun.
La force et spécificité d’Idésia est de nous permettre de nous appuyer sur des MIOB pour nous développer. C’est lié à notre statut de mandataire non exclusif (MNE) qui nous permet de faire travailler des MIOB qui nous sont rattachés. Inversement, dans beaucoup de réseaux, les courtiers ont eux-mêmes un statut de MIOB qui les place sous le mandat de la tête de réseau et ne leur permet pas de se développer.
J’ai tenté par le passé de recruter un collaborateur salarié, mais cela n’a pas fonctionné. En revanche, s’appuyer sur des MIOB est pour moi la bonne solution : ils restent indépendants, et en même temps sont pleinement intégrés à l’équipe, nous les formons, ils participent aux conventions réseau… C’est une relation gagnant-gagnant.
En quoi est-ce que Idésia vous a soutenu dans votre développement ?
Frédy Louis, le fondateur d’Idésia, m’a toujours soutenu et accompagné. Il apporte son regard sur mes projets, tout en me challengeant ! C’est très bénéfique. En tant que franchisé, on est indépendant, tout en bénéficiant du soutien de la tête de réseau.
Depuis 8 ans, la franchise a beaucoup évolué, surtout ces 5 dernières années. Je fais partie de l’aventure depuis les débuts du réseau, ce qui me permet d’en mesurer la progression. Dès le départ, j’ai apprécié la vision de Frédy Louis et sa manière de travailler, et j’ai eu envie de m’impliquer dans le développement du réseau. Aujourd’hui, Idésia a grandi et s’est nettement structuré : l’enseigne a pris du poids dans le paysage avec le recrutement de nombreux franchisés, l’adhésion au groupement BySoluce, l’intensification des actions de communication, l’arrivée d’un animateur de réseau…
Grâce à cela, nous avons toutes les cartes en main pour réussir.
Quel est votre conseil pour les franchisés qui rejoignent Idésia ?
Mon conseil est de tout de suite envisager un développement à plusieurs. D’une part, parce que tout seul, on risque de s’essouffler… Le marché est très vaste et il faut un certain temps à créer un réseau actif de prescripteurs qui apportent des dossiers. D’autre part, parce que le potentiel de développement de la marque Idésia est très important. Je suis convaincu qu’il faut être à plusieurs pour exploiter au maximum le potentiel de son territoire.
Aujourd’hui, les prescripteurs ne sont plus uniquement des banquiers, alors que c’était exclusivement le cas auparavant. La part de la prescription bancaire ne cesse de diminuer, car Idésia s’est diversifié et le marché a évolué. Par exemple, dans mon activité, seul 30 % de mes prescripteurs sont des banques. Tous les autres sont des agences immobilières, des courtiers en travaux, des assureurs, des cuisinistes… Toutes ces professions peuvent avoir des clients qui ne trouvent pas de financement dans le réseau bancaire traditionnel. Plus je crée de liens avec ces prescripteurs, et plus je me développe. D’où la nécessité de travailler en équipe !
Je le conseille d’autant plus que Frédy Louis privilégie toujours ses franchisés. Son objectif est de nous permettre de nous développer. Aux franchisés qui veulent s’agrandir, il leur donne les moyens de le faire et les accompagne de manière constructive. Le potentiel est là, autant y aller !